vendredi, juin 20, 2008

Virginia is for lovers - Alexandra Agagnier

Non, je n’ai pas encore abandonné ma résolution de réécrire dans ce blog, j’étais juste parti en semaine de vacances bien méritées au bord de la plage. Une semaine bien remplie et mémorable en tout point.

Nous sommes allés à Virginia Beach, Virginie, Etats-Unis d’Amérique (plus précis que ça vous sauriez que nous étions au lot 189 du KOA sur le boulevard General Booth (je sais je sais, qui ne rêverait pas d’un nom de même?)). Nous, c’est moi-même, Mathieu et Alexandra. Notre moyen de transport? Ma petite Civic remplie à raz bord de deux tentes, deux matelas gonflables dont un qui se dégonfle durant la nuit,une énorme glacière, nos maillots de bain, serviettes, chaises de plage, parasol ainsi que les 5 paires de souliers d’Alexandra. Une semaine de rêve remplie de soleil et de détente.

Je n’ai jamais mangé autant de fast food de ma vie! Nous avons pas mal tout testé excepté le PFK parce que même avec une crise d’insolation, nous ne sommes pas assez débiles pour croquer là dedans, le Taco Bell parce que nous avons tellement entendu d’histoires sordides à leur sujet que j’ai des hauts de cœurs rien qu’à y penser, Roy Rogers pour la bonne raison que leur menu est entièrement brun et Nathan’s Famous parce qu’il servent des hot-dogs géants avec du chili dedans et beurré avec du cheez-wiz. No joke. J’ai bien pris 5 livres de gras, ce qui est plutôt fâcheux pour le port du bikini…

A part la gastronomie, nous avons pu profiter de la belle plage toute neuve de Virginie, des autoroutes sans nid de poule, de la chaleur constante de la place, du bonheur de payer quasiment pas de taxe. Mathieu s’est vautré dans les Malboro introuvables chez nous, Alexandra s’est payé la traite avec une nouvelle caméra et des boites de taffy à l’eau de mer (miam!) et moi je n’ai rien ramené excepté de la Solarcaine pas efficace pour les coups de soleil que nous avons attrapés.

Nous avons aussi eu la chance d’acheter du vin pour VRAIMENT pas cher, on parle de 3$ pour une bouteille de rosé chez Wal-Mart, ou bien du Yellowtail-Shiraz à 1,15 litre pour un gros 8,50$ (chez nous il est environ 13 la bouteille de 750 ml.) acheté dans un dépanneur Redneck.

Nous avons résisté à la tentation d’acheter :
Une grange Amish
Une porte dans une ventre de garage
Une sacoche en latex cheap avec des motifs psychédéliques brillants rose et orange
Une statue-toutou de singe qui chante une toune crooner et qui danse en même temps.
Un porte crayon avec des dauphins en plastique dans de l’huile colorée bleue à l’intérieur
De la salsa « creamy »
Des funnyunhs (des croustilles aux oignons)
Des biscuits Pillsbury avec le drapeau américain dessus.
Un chapeau de cow-boy vert fluo dégradé avec des coquillages blanc cousu dessus.
Etc.
Etc.
Etc.

On a tellement vu de choses étranges, que je ne me souviens plus de tout. Par exemple j’ai particulièrement été troublée par les Wal-Mart Supercenter ouverts 24 heures. C’est tellement gros, ça n’a plus de bon sens. Pas étonnant que ça fait fermer toutes les industries locales. Et finalement la grosseur des frites et liqueurs dans les combos au restaurant. Leurs petits sont nos gros medium, c’est terrible! Au McDo, les croquettes viennent en 10 morceaux seulement, pas 6…

Ça fait pas mal le tour des belles choses que j’ai vues, je crois. Évidemment, il y aurait tout plein de choses à dire et a raconter, mais hors contexte c’est bizarre un peu.

--
Photo par Alexandra.

Mlle M
et il était 2:22 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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