vendredi, septembre 21, 2007

Noir et blanc
J’ai enfin reçu mon premier rouleau de mon voyage en Gaspésie!

Je vais devoir aller passer une bonne heure avec mes amis chez Lozeau pour tenter de découper correctement mes deux rouleaux de 120mm que j’ai pris avec ma Holga. Parce que, comme ça m’a pris vachement de temps avant de comprendre comment fonctionnait la chose (non non, lire les manuels ça ne sert à rien), eh bien ma pellicule est un interminable panoramique où toutes les photos se superposent dans le plus grand chaos. On verra bien ce que ça donnera. Si j’ai deux poses de potables en tout, je serai heureuse.

Alors bref, j’ai tout de même le rouleau noir et blanc que j’ai partagé avec Alexandra. C’était une pellicule que ma sœur avait oubliée dans ma vieille canon T70 datant de 1984 jamais nettoyée et au posemètre bousillé. N’empêche, j’adore cette caméra et elle m’oblige à tout faire manuellement et à guesser la lumière, chose plutôt compliquée, enfin c’est peut-être juste moi. Elle est incroyablement lourde, et plutôt a pain in the ass à transporter quand le flash est dessus.

Mais je divague. Sur notre pellicule 24 poses, 12 ont pu être développées. C’est que ma vieille Canon est capricieuse et qu’elle décide de changer les settings toute seule sans demander notre avis. Dans ces 12 poses, deux sont pareilles parce qu’Alexandra n’était pas au courant de la vitesse de déclenchement ahurissante de la caméra. Sur ces 11 poses, donc, j’en ai trouvé 6 qui sont intéressantes. Dans ce set, deux appartiennent à Alexandra. J’ai décidé de mettre le portrait qu’elle a fait de moi parce que je le trouve absolument adorable et l’autre j’ai fait quelques changements dessus parce que mon amie n’a pas respecté la règle des tiers et j’ai pu recorriger le tir à l’aide de mon ami photoshop.

Une dernière chose et après je vous jure que je la ferme. Je dois dire que chaque fois que je vois mes photos pellicule, je retombe en amour avec ce médium. Et c’est encore plus vrai. Rien ne peut remplacer le charme du noir et blanc 35mm. Le grain, le rendement des gris, le côté authentique, vrai, sont irremplaçables. J’adore.

Alors, commençons par la première photo d’Alexandra. Un petit test de profondeur de champ, je pense, sur les galets. C’est la plage de notre campement, le Petit Gaspé, dans le parc national de Forillion.



Ensuite il y a le rocher percé. Rien de bien bien spécial, mais bon Dieu qu’il est majestueux.



Puis, les milliers de fous de Bassan de l’île Bonaventure. J’ai eu un peu de trouble avec l’exposition de celle-là, mais ce n’est pas si mal. J’ai dû recadrer la photo, ayant moi-même oublié la règle des tiers… :D



Alexandra et le rocher percé. En fait, c’est idiot parce que nous ne savions pas que c’était un film noir et blanc. J’aime comment les couleurs ont été rendues malgré tout. Elle attend le bateau qui va nous ramener vers la petite ville de Percé.



Puis le portrait qu’Alexandra a fait de moi. Je m’ennuie sur le quai. J’attends moi aussi le bateau. J’ai tellement un look old school ça ne devrait pas être permis.



Finalement le Cap Bon Ami, durant notre dernière journée dans le parc de Forillion. La photo est un peu sous-exposée, mais j’aime bien les nuages. C’est la plus jolie plage du parc à mon avis. Elle est ici cachée parce que je me tiens sur une falaise qui surplombe la baie. J’ai fait aussi un petit nettoyage dans le grain parce qu’il était un peu trop présent à mon goût.



Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Je vais essayer de scanner mes polaroïds du voyage et on devra attendre pour les photos Holga. Je vais tenter de digitaliser mes diapos aussi. J’en ai une couple que j’aime beaucoup.

C’est tout. N’hésitez pas à commenter, hein?
Flickr

Mlle M
et il était 12:16 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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