Non, mais on va arrêter ça là les niaiseries. Blogues comme il faut ou blogue pas pentoute. J’ai vraiment aucune raison de laisser cet espace à l’abandon comme je le fais. Come on, je mets pas autant de temps dans mes layout pour écrire à peine un billet par semaine!
Donc voilà, je prends la résolution de brasser ma cage un peu et de secouer la poussière qui s’encrasse sur mon clavier. On verra ce que ça va donner, je ne promets rien, mais je croise les doigts bien fort. J’ai peu d’inspiration ces derniers temps, mais j’en ai pas vraiment besoin pour écrire un peu, non?
J’ai tout plein de squelettes de textes qui traînent dans ma mémoire informatique et au lieu de les laisser là, je vais les publier pareil. Ils ne seront pas tous bon, ça non, mais au moins j’aurai la conscience tranquille.
Faque…
Ce weekend n’a pas été productif pour deux cennes. Vendredi c’était congé et j’en ai profité pour prendre ça relax, faire un peu de lavage, question de dire que je ne suis pas complètement inutile dans la maison. Je suis allé acheter un peu d’audio-visuel avec ma petite sœur. Elle a trouvé The Last Unicorn notre film culte de petite fille. Je ne connais personne de mon âge qui a vu ce film d’animation qui fête ses 25 ans cette année. Mes parents nous ont enregistré ça quand j’étais petite et je l’ai regardé des centaines de fois. Je connais les chansons (composées par America, d’ailleurs) sur le bout de mes doigts. C’était une joie immense de le retrouver parce que notre cassette n’a plus la fin du film, mon père ayant enregistré inconsciemment du hockey par-dessus.
J’ai rejoint Ludo chez lui après le souper pour regarder les deux Kill Bill que je n’avais pas encore vu (je sais, je suis trop louche). Il n’était pas encore huit heures qu’il dessaoulait, dure journée au cégep oblige. Quoiqu’il en soit, j’ai adoré les films et Ludo a dormi roulé en boule à côté de moi, vraiment trop claqué pour suivre quoique ce soit.
Je suis revenue tard, sous la pluie, avec une envie de me taper Reservoir Dogs en arrivant à la maison, mais j’ai opté pour une période de lecture forcée. Je dois finir Solomon Grusky was here un jour si je veux passer à autre chose, pas que le livre soit mauvais, au contraire, mais c’est une sacrée brique.
Samedi, rien en journée. J’ai regardé Eternal Sunshine of a spotless mind écrasée sur le divan en bouffant les restes de mon chocolat de Pâques. Je trouve que The Science of Sleep est meilleur qu'ESOASM (quel drôle d’acronyme), mais bon, j’adore les bouts sur la plage.
Ah, et puis la fin de semaine se résume au souper avec les filles en soirée. Fondue chinoise avec bruchetta en entrée, fromages et gâteau opéra en déssert. Le tout arrosé bien comme il faut de vin, de cigares, de franglais horrible. La dure vie, quoi. Après, on s’est tapé les deux premiers épisodes de Six Feet Under.
Oh et en passant, Sean Lennon fait de la musique parfaite pour les soupers, c’est juste sublime.
Résultat : mal de tête horrible au boulot, yeux injectés de sang et face d’enterrement très peu utile pour séduire les français des environs.
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Image tirée du film The Last Unicorn
Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.
Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.
C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.
Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.
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