samedi, septembre 09, 2006

Soirée de merde
J’ai les yeux qui brûlent. Soirée étrange hier, stressante aussi. Épuisante, c’est le mot.

Il est dans les environs de huit heures quand on arrive enfin au Dundee’s où on va manger un brin entre amis. Ça fait longtemps, cinq personnes qui partent tous dans des directions différentes. Cinq individu au futur mouvementé. Il faut se tenir la main dans les remous pour ne pas se perdre de vue.

Deux bocks de blanche, beaucoup trop de nourriture. Gaspillage, mais bon temps. On parle fort, on s’écoute. On veut danser, se défouler. Il est rendu dix heures.

Pénombre, beaucoup de temps a passé depuis notre dernière visite. Philippe y est aussi. Un bonjour, un hochement de tête. J’enfile un Manhattan à trois cerises ainsi qu’une coupe de fruits divers.

Coupe de fruits. C’est là que ça dérape. À retardement. Danse dans le noir, un peu n’importe comment. On s’en fiche.

Ce n’était pas du cantaloup, c’était de la mangue. Elle y est allergique. Réaction anaphylactique. Dérapage contrôlé, enfin presque. Terminé la danse et les cocktails raffinés, j’essaie de lui demander où est l’hôpital le plus proche, mais il est occupé à jaser à de jeunes filles.

L’autre serveur m’aide, un peu affolé. Ils la prennent tout de suite, shot d’adrénaline. Le cœur qui bat la chamade, cinq personnes au cœur affolé. Un qui bat plus et le corps qui shake.

L’attente fut interminable, toute la nuit, en fait. Le soleil se levait quand enfin j’ai pu toucher un lit. Sans pouvoir dormir, pourtant épuisée. Soirée de merde.

Mlle M
et il était 2:50 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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