Le fétichisme fesse. Ça rentre dedans l’imagination, extrait les désirs enfouis, non avoués, il choque. C’est la «perversion sexuelle, généralement masculine, dans laquelle l'apparition et la satisfaction des désirs sexuels sont conditionnées par la vue ou le contact d'un objet ou d'une partie du corps.»
Rien n’est laissé au hasard, autant au niveau de la composition, des costumes, des maquillages, du choix du modèle et de l’éclairage. Marier le voyeurisme, la domination, l’acte sexuel, le désir, l’envie, le danger, la mort (surtout la mort), le corps et ses formes, les textures, l’argent, le sexe bon marché, les interdictions religieuses, c’est tout un défi pour une seule photo.Le fétichisme cherche a nous rendre mal à l’aise et excité en même temps. Il veut nous faire sentir coupable de notre attirance et c'est cette sensation de culpabilité et d'interdit qui rend le fétichisme si attrayant. Il est rare d’accepter d’amblée la photographie fétiche. La société rejette cette forme d’art parce qu’elle se rattache trop au corps, à la pornographie. Elle fait peur parce qu’elle a un côté animal. Le fétichisme emprunte les caractéristiques grossissantes à la caricature afin d’exagérer les formes, souvent féminines.
Le latex luisant, le cuir, les uniformes, le rouge, le noir, la peau nue, la suggestion, la bisexualité. Même si l’esthétique à tendance fétiche est à des milliers de kilomètres de la réalité humaine, le fétichisme est une ode au corps humain, surtout féminin, et à ses capacités à donner du plaisir.
Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.
Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.
C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.
Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.
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