jeudi, août 17, 2006

Ces moments où l’univers se résume à 4 minutes 31 secondes exactement
Il y a de ces chansons que l’on use à la corde. Il n’y en a qu’une sur la playlist et elle joue en boucle sans même penser qu’il pourrait y avoir d’autre mélodie que celle qui tourne présentement. Le monde entier ce résume à ce morceau, ce seul et unique chef-d’œuvre qui vous rentre dedans, littéralement. C’est une soumission béate qui dure parfois jusqu’à l’overdose, comme dans toute bonne drogue.

Je croise le chemin de ces pièces de temps en temps. Plus ou moins une fois aux deux mois, ça ne peut être plus erratique. Récemment, mon oreille s’accroche désespérément, non ce n’est pas le mot, elle s’accroche avec ferveur sur «The Start of Something» de Voxtrot.

C’est difficile de mettre en mots ce que cette chanson vient réveiller au fond de moi. Absolument tout est charmant dans cette pièce du jeune groupe originaire d’Austin, au Texas. C’est d’abord sa mélodie catchy, indéniablement pop et indie qui plait. C’est du bonbon pour l’oreille, un joyeux accord avec une guitare un peu sixties et une batterie sobre mais précise. C'est peut-être aussi son allure simpliste, mais définitivement plus complexe qu’une simple chanson pop. Peut-être est-ce encore la voix un peu éteinte, fuselée, vulnérable, mais confiante de Ramesh Srivastava qui captive tant.

Peu importe les raisons, c’est le genre de chanson qui reste dans la tête du matin jusqu’au soir. Impossible de s’en défaire. Mon coup de cœur s’est cependant affirmé quand je n’en pouvais plus de simplement mememer l’air et que j’ai trouvé les paroles. J’ai été surprise d’y découvrir une richesse si vaste et une humanité si troublante.

«The Start of Something» c’est une histoire d’amour, mais traitée avec une grande dévotion, une immense douleur et aussi de la solitude. C’est le rideau de douleur qui tombe quand le cœur de l’autre est pris, quand on rate sa chance. C’est également l’espoir et la conviction d’aimer plus que tout au monde. C’est une vie a aimer peu importe les erreurs et les faux-pas. C’est l’amour inconditionnel au-delà de la réalité et de la déchéance. C’est un amour, celui qui détruit. Celui que tout le monde cherche. C’est le besoin immédiat de l’autre. Cet autre qui est juste là, devant nous, dans le fond. N’est-ce pas?
--
paroles, comme ça vous comprendrez
Le blog de Ramesh Srivastava
oh, et merci Daviel pour la découverte

Mlle M
et il était 7:32 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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