mercredi, juillet 19, 2006

J’ai donné mon cœur en 2004
C’était une de mes premières journées au Cégep, également une de mes premières au sein de la télévision étudiante et alors que j’attendais pesamment sur un divan que la journée finisse, j’ai entendu une pièce qui ne m’a jamais quitté. Celle à qui je dois ma découverte était partie, laissant itunes ouvert, supposant peut-être que j’allais aimer ce qui allait jouer.

Que ce soit le destin ou bien le hasard, le fait est que j’ai découvert ce que je pourrais nommer mon album-favori-dans-le-monde-entier. Il y a tout plein d’albums sur cette terre, j’en ai moi-même pas mal, mais malgré tout, celui là est particulier. Ce n’est pas un album révolutionnaire, il est connu, mais sans plus. Il n’a pas fait fureur, ne figure pas dans les anales de la musique, il n’a pas été créé par un groupe mythique, mais pourtant c’est à cet album que j’ai donné mon cœur.

Turn on the bright lights d’Interpol est ce disque qui me suit peu importe ce que je fais et où que je me trouve. Je ne sais pas trop pourquoi j’ai jeté mon dévolu sur celui-là en particulier. Bien des albums représentent des parties de ma vie, comme une bande sonore de mon histoire à moi. C’est normal on écoute tel genre de musique pour telle humeur ou situation. Cependant Turn on the bright lights tapisse mon univers musical depuis mi 2004 presque sans arrêt, depuis ma découverte.

J’étais étonnée de découvrir cet album en première position des albums les plus noirs au monde selon Q. Je ne le trouve pas si sombre, moi. Certes, il a son côté mystérieux et noir mais il ne nous transmet pas de malaise comme Nirvana ou Radiohead. Au contraire, il semble prendre sur ses épaules toute douleur par sa netteté rare et efficace. Les autres moments, il me calme et installe en moi une espèce de havre qu’aucun autre album n’a installé à ce jour. Il est parfait pour les journée ensoleillées, fenêtres ouvertes et visage au vent autant que la nuit sous un ciel couvert.

Interpol fait de la musique, mais par-dessus tout, ils font un grand rangement dans ma tête. Turn on the bright lights regorge de merveilleuses pièces aux ambiances new-yorkaises où se mêle une envie de propreté et de rapidité en même temps qu’un spleen méditatif. C’est comme un grand manteau de lenteur.

Parmi l’ensemble, mon esprit ne manque pas de rester accroché sur Leif Erikson, dernière pièce qui semble me souhaiter bonne chance à chaque fois que les 49 minutes sont écoulées. Si un jour on fait un film sur ma vie, il y aura des pièces tirées de cet album, c’est sur.

Mlle M
et il était 10:10 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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