samedi, juin 03, 2006

Il y a rien faire et rien faire
J’ai les pieds dans la colle et vraiment pas l’impression de faire grand-chose de mon temps. Le soleil est là, mais pas la bonne humeur. Je n’arrive pas à avoir de l’inspiration ni aucune motivation à rien faire. Je peux passer de longues heures assis devant mon écran et à essayer d’entamer une critique sans que les mots me viennent. Je crois que c’est de l’épuisement. Il est grand temps que la session s’arrête. Il ne me reste plus qu’un cours et ensuite c’est du camping pour trois jours au parc national de la Mauricie. Ça devrait recharger la batterie, enfin j’espère.

Mon esprit a été absent toute la journée d’hier et semble vouloir vagabonder pour toute la fin de semaine. Peu de divertissement en vue, je ne vais rien faire. Appelez-moi même pas. Rêves gluants, comateux, persistants, mais sans images. Je ne sais plus ce que je cherche… Je cherche quelque chose, moi? J’aurais peut-être besoin d’un corps chaud ou d’une douce doudou pour me coller. M’enfin.

Mon été s’annonce chaotique avec un horaire peu ragoûtant. Je vais me taper trois différentes relèves, et ce, dans la même semaine. Je dois me mettre activement à la recherche d’un emploi dans mon domaine, mais même ça, on dirait que ça ne me tente pas. Trop difficile.

La seule chose dont j’aie hâte ce sont les francos, mais comme on n’est pas foutu de m’avertir suffisamment à l’avance de mon emploi du temps, je ne peux rien planifier. J’ai bien peur de manquer les artistes que je voulais voir…

Musique, musique. Malgré ma tonne de disques, il n’en a pas un qui me tente. J’ai passé une bonne demie heure au mégastore HMV à me promener lentement sans même prendre un seul disque pour regarder sa pochette et la liste des pièces. Totalement déprimant. Rien de nouveau ni de très excitant. Je me remets à lire. Ça fait toujours ça quand rien ne me stimule. Je me suis acheté deux morceaux de linge presque de force, par principe, parce que j’en avais de besoin. Un gris et un noir.

Je sais que ça va finir par passer, mais là j’ai comme de la pré nostalgie collégiale. Il vaut mieux que la nature me remette en place et dans le bon ordre. Bon... j’avoue que j’ai hâte…

Mlle M
et il était 10:32 a.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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Karl Kwansky