lundi, novembre 14, 2005

L'injustice du papillon
Apprivoiser une bourrasque gelée, farouche. Me battre contre les vents des septs revolvers. Le désert sèche mes dents, éblouit ma peau autrefois criante d'alphabet. Remonter les dunes molle et traitres. Je vais te vaincre, nature, je vais m'élever contre l'injustice du papillon. Un battement, un ouragan de détresse avorté d'un cillement pacifiste. Obtenir le traité de paix immense et argent. Une constellation de chiffres dans le ciel pour faire le juge du loup seul. Cri, mon frère. Saigne! rocher des mers de noms. Je vais combattre l'injustice du papillon qui fait de moi et toi et son corps des esclaves du soleil déclinant. La grande respiration avant la culbute de fer qui écrasera l'huître au fond de l'océan. Les dernières lueurs du crépuscule qui meurent entre mes doigts. La dernière danse avec la mort et l'arbre. L'injustice du papillon traine les sirènes sur les glaciers et les souffles chauds des plages de diamands qui deviennent poison. Les louanges aiguisés se perdent dans le fond des coffres cireux et anciens. Les larmes du flamand écartent encore la fosse tranquille qui grogne au détour des sabots. Un seul pied, l'autre occupé, me retient encore sur les côtes enneigées. Le fond du verre approche et ensuite sera le repos abondant. L'injustice du papillon crédite les invasions de ballet sur une scène disjointe et atrophiée. File vers le précipice, jamais le dernier pas ne sera franchit, bénificie de la bénédiction du baiser savoureux. Les mains attachées je me bats sans souffler ni souffrir un mot. Donne ton âme pour traverser, pour signer la pétition du quadrupède. Le pétrole servant de couvert à ton repas ne peut plus être protégé. Laisse faire et bats-toi insensiblement. L'injustice du papillon a tué la Terre hier.

Mlle M
et il était 8:28 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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