lundi, octobre 10, 2005

un doux souffle dans mon cou détendu, offet à la douceur de tes gestes tendres. Je veux sentir ton amour timide jouer une mélodie lunaire sur mes épaules. Embrasse-moi, délicatement, faiblement, fébrilement, comme une plume blanche effleure la mer sans même faire d'ondoiment. Embrasse-moi encore, plus doucement. Tes mains aux doigts si fins et agiles laissent des frissons dans le creux de mon dos. Tes yeux, beaux, profonds sont ancrés au coeur de mon être. Ta pupille, ouverte, aimable, si noire que la nuit serait jalouse, me fixe et me transmet la saveur de ta vie. Tes cils, par milliers, arqués vers le ciel comme autant de rayons de soleil. Je t'aime. Embrasse-moi avec ferveur, animosité, fortement, comme le feu dévore une forêt centenaire. Tes lèvres, douces comme le rêve et merveilleuses comme le crépuscule en diadème. Je me perd dans tes bras minces, longs et langoureux. Serre-moi, je ne veux pas te perdre, même pour un moment. Ton corps contre le mien, nos peaux collées, en parfaite union. Soulève-moi, je veux m'envoler. Tes mains dans ma chevelure repassent et reviennent. Embrasse-moi secrètement, amicalement, innocemment, comme un enfant qui joue avec les nuages. Tu me chuchottes des songes d'automne, une brise, une onde. Je ris, embrasse-moi, je t'aime, tu le sais, embrasse-moi avec colère, passion, envie, comme une tempête de glace une nuit d'hiver d'ébène. Tes cheveux comme une rivière sur mon buste. La lumière qui réflète la perfection de ce moment. Une nuit au creux de ton épaule ronde, invitante, paisible. Je dors, embrasse-moi encore, avec détente, agitation, enfantinement, comme un homme aime inconditionellement une femme. Embrasse-moi. Tout simplement.
--
à un homme que je vais aimer, j'aime ou j'aimerai...

Mlle M
et il était 1:29 p.m.



Je suis tellement intéressante

Depuis l’achat de son premier disque, un album double des 25 ans de René Simard, Myriam est une mordue de musique. Elle aimerait bien jouer de la guitare, du piano, du ukulélé, le pencilina, la bandura ukrainienne ou le cymbalom, mais elle a du se rendre à l’évidence qu’elle n’avait aucun talent pour jouer et qu’elle devait se contenter d’écouter.

Elle a passé son enfance au pays des pommes, traumatisée à jamais par les chèvres passant sur son terrain et l’absence de centre d’achat à proximité. Elle migre maintenant sur l’île de Montréal pour y mener une vie de débauche que sa maman n’approuve pas vraiment.

C’est la vue fantasmatique de David Bowie en collant qui l’a poussée vers le cinéma. Puis, grandement influencée par l’ère American Apparel, elle va maintenant en photographie pour capturer la pop culture tellement trendy à ses yeux.

Elle aime la photographie polaroid et la photographie pas polaroid, les fashion victims, la musique indie-rave-electro-rock-pop-ish, fancy and expensive food, les petits pinsons jaunes, lovely smooth dance moves, la poésie hardcore and such, les drinks gratuits qui fessent, Oh-so-trendy Paris et Vintage London, les marvelous Marvel Comic books et des nouvelles connaissances qui aiment l'ironie et se questionnent sur le pourquoi des formes des pretzels.

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